Du match entre le Jazz de l’Utah et les Timberwolves du Minnesota dans la nuit de lundi à mardi, on ne retiendra pas la victoire de ces derniers (114-104), mais une action monstrueuse, le dunk de l’année, signée de leur star Anthony Edwards, qui, à n’en pas douter, fera date dans l’histoire de la NBA.
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Il reste 5 minutes et 34 secondes à jouer dans le 3e quart-temps quand l’arrière des Wolves intercepte une passe adverse et remonte le ballon. Une passe à Nickeil Alexander-Walker qui lui remet dans la raquette. Décollage du vol AE1 pour le poster de l’année sur le pauvre John Collins. Le geste est si fort que les deux joueurs sont blessés sur l’action : un doigt déboîté pour le dunkeur et une blessure à la tête pour le défenseur.
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Avec ce geste, Anthony Edwards nous gratifie d’une nouvelle démonstration de technique et de puissance. Car le numéro 1 de la draft 2020 est coutumier du fait. Dès sa première saison en NBA, il s’était fait remarquer en claquant un poster dunk tout aussi monstrueux sur Yuta Watanabe.
C’était déjà un des meilleurs dunks de l’année à l’époque.
