Désolé Marseille, on a testé les chips au pastis

Désolé Marseille, on a testé les chips au pastis

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Par Pharrell Arot

Publié le

Ils ont des chapeaux ronds, vive la Bretagne, et des chips au pastis, vive les Bretons.

Ce mardi 30 avril, au milieu de mon courrier, un colis renferme ce que certains verront comme un trésor : les nouvelles saveurs de chips de la marque bretonne Brets. Au milieu du colis trône un paquet qui attire immédiatement mon attention pour l’avoir déjà vu passer sur mon fil X/Twitter sans vraiment savoir s’il n’était pas le fruit d’une IA. Le paquet est là, le paquet interdit, celui des chips saveur pastis.

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Ni une ni deux, je l’ouvre, comme pour en avoir le cœur net, comme si le paquet entre mes mains pouvait renfermer autre chose. Non. Ce sont bien des chips. Des chips saveur pastis. D’ailleurs, le premier nez est formel : ça sent l’anisette. Il est temps de croquer. Crounch, ça en a aussi le goût. Pas un goût d’anis, hein, vraiment le goût du verre ballon dilué un soir d’été. Bien sûr, sans l’alcool, sans la fraîcheur, mais avec cette étonnante rondeur d’une gorgée d’apéro du sud. Ah, pour moi, le pari est gagné. Je n’ai devant moi aucun mensonge, juste un paquet de chips de pommes de terre saveur pastis. Maintenant, à titre personnel, je n’ai pas envie de ça, et même si j’aime l’anis, sa version en chips n’est pas pour moi.

D’ailleurs, un tour de la rédac, et à part un ou deux palais plus enclins, la plupart des goûteurs ne sont pas vendus sur l’apéro en sachet. Pour autant, si vous aimez vraiment le pastis ou que vous voulez faire une bonne blague à un ami marseillais, la promesse du paquet est tenue. Nous, on ira plutôt boire un coup, avec ou sans alcool, et pour les chips, on choisira un autre parfum, par exemple les cheddar-jalapeño qui se cachaient sous le paquet interdit.

Article rédigé dans le cadre d’une mise à disposition de produits par Brets.